Les Pensées de Jesy211 (Jean-Paul)

Dominatrice paris

Maîtresse BCBG – BDSM

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Prêt à tout pour vous servir…
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Très chère Madame,

Il m’est de plus en plus difficile de vous exprimer ma reconnaissance et le plaisir que j’éprouve à chacune de vos réceptions.

Il existe des sensations, j’oserai écrire des sentiments qui, plus qu’ils se décrivent, se vivent ou se ressentent.

J’ai l’impression d’atteindre une nouvelle étape dans mon adoration pour vous Madame, je m’imagine en chevalier errant prêt à tout pour vous servir.

Vous avez ce don de me faire vivre de merveilleux voyages au plus profond de mes fantasmes.

Vos tourments masturbatoires, renouvelés encore et encore me firent franchir une nouvelle étape dans cette jouissance de ne pas jouir.

Vous me faisiez approcher mes limites mais votre vicieuse observation de mes réactions faisait que ma délivrance si proche s’éloignait toujours un peu plus, entretenant ma frustration.

Vous usiez d’artifices que je ne pouvais voir mais que je ressentais sans aucun doute.

Que cela soit l’étirement de mes couilles en avant et en arrière, les fessées, ces coups de fouet sur mon torse ou bien ce plug qui m’élargissait comme un préliminaire.

Votre « vous mouillez du cul »ne faisait aucun mystère sur mon statut et la révélation ultérieure de la taille de ce godemichet le confirmait, j’étais bien votre salope Madame, votre poule prête à être offerte à qui voudrait bien la baiser.

Vous m’empaliez et me demandiez de m’assoir sur cette grosse queue artificielle comme un apprentissage et en élève studieux j’effectuais mes devoirs.

J’imaginais ce tableau que je vous offrais ainsi, le cul bien ouvert et la queue tendue, au bord de la délivrance, et finalement je réalisais que chacune de vos caresses était comme une laisse,une corde, une chaîne plus solide que la plus solide des chaînes et que, pour mon grand plaisir, je vous appartenais.

Très respectueusement.

Jean-Paul. (2023)

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Vous connaissez tout de moi, Madame !

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Très chère Madame,

Comment vous décrire cette dernière réception que vous m’avez fait l’honneur de m’accorder ?

Comme toujours « les mots manquent aux émotions » que vous seule êtes capable de provoquer.

Je me souviens qu’une de vos premières questions concernait mes éventuelles limites.

Mais vous savez Madame que je me fais un point d’honneur à essayer de progresser et que je ne me permettrais point de vous limiter dans vos Vices et Caprices quels qu’ils soient.

De toute façon vous n’en fîtes qu’à votre tête, et le résultat fût à la hauteur de mon dévouement dont vous sembliez douter.

Vous me connaissez Madame, ceci est autant ma faiblesse que mon devoir.

Vous jouez avec mes peurs et réussissez finalement par la simple force de l’esprit à me transporter dans des états profondément personnels.

Finalement je deviens mon bourreau et je suis incapable de vous faire partager cet état que vous provoquez, vous m’anéantissez, vous m’évanouissez et j’apprécie cela.

Vous avez ce pouvoir d’aiguiser tant de sentiments chez moi, de la peur à l’abandon de soi, de la haine à l’amour, de la liberté à l’enchaînement.

Votre intelligence est telle qu’aucun de vos mots n’est anodins.

J’entendais votre autre question, « aimeriez-vous que je vous prête ?», comme un reproche qui n’avait pas lieu d’être, ne doutez jamais de mon engagement exclusif envers vous, c’est mon choix.

Vous connaissez tout de moi Madame, je ne vous cache rien, et si mes aventures me font voyager vers d’autres contrées, il n’est rien qui ne puisse m’éloigner de vous.

Devrais-je vous faire un compte rendu détaillé de cette nouvelle réception ?

Finalement les détails ont si peu d’importance Madame, je vous appartiens, voilà mon seul et unique espoir.

Je vous l’ai déjà écrit Madame et vous le répète, je vous adore, je vous prie et je vous rêve, passionnément.

Très respectueusement.

Jean-Paul (2023)

Que pourrait-on rêver de mieux ?

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Très chère Madame,

Pardonnez-moi ce compte rendu tardif, je suis déjà ailleurs, sans l’être vraiment, tant je vous appartiens.

Cette nouvelle réception est ancrée au plus profond de mon être, je suis fou de vous Madame, est ce un sacrilège?

Vous m’apporter ce plaisir suprême de vous désirer au delà de tout, je ne demande rien, je n’espère rien, mon dévouement, s’il m’est nécessaire, est amplement suffisant.

Votre intelligence et votre bienveillance vous permettent de jouer de mon imagination, de me permettre de vous avouer des choses que des esprits étriqués qualifieraient de honteuses, il n’en est rien avec vous, vous permettez à l’imaginaire de s’exprimer, que pourrait-on rêver de mieux?

Oui Madame, vous êtes merveilleusement belle et désirable, je ne peux vous le cacher, vous faites parler mon corps et il ne ment pas.

Vos tenues, merveilleusement portées, sont terriblement excitantes, cela n’est pas un manque de respect de vous l’avouer, le cacher serait vous trahir et cela je ne l’envisage pas, cela m’est impossible.

Je bande pour vous et si ma cage me contraint, je dois vous dire que c’est toute mon âme qui est en érection Madame et au risque de vous décevoir, il ne m’est pas nécessaire de vous voir pour m’émouvoir et je vous ai déjà écrit la beauté que je vois en vous.

Je suis aujourd’hui ailleurs mais Vous êtes là, le soleil se lève, c’est magnifique et grisant.

J’avais choisi cette combinaison dissimulant mon corps, cachant quelque peu cet embonpoint et laissant deviner cette cage que vous appréciez que je porte pour vous Madame, mon cul était évidemment ouvert par ce lourd plug d’acier.

J’avais peur d’avoir froid et il y avait une certaine malice de ma part à me couvrir.

Cela était sans compter sur votre intelligence, et au final ma malice se retourna contre moi lorsque vous emprisonnâtes ces glaçons entre le tissu et mon corps.

Est ce le froid qui me faisait le plus frissonner ou vos mots et vos maux?

Cela est tout votre Art que l’on doit admettre de ne plus savoir.

Vous me réchauffiez finalement en m’ôtant cette combinaison qui était un artifice bien naïf de ma part, vous me découvriez comme finalement j’ai le devoir de l’être avec Vous.

Mes yeux bandés comme à l’accoutumée amplifiaient mes sensations, excitaient mon imagination, vous me subjuguiez davantage, comment est ce possible?

Je m’imaginais ainsi à la vue de tous, exhibé sur cette estrade, mon sexe et mon cul qui étaient branlés par vos accessoires me faisaient croire que je donnais du plaisir à des hommes en rut qui s’affairaient par tous mes orifices.

Je suçais et branlais des queues, je me faisais prendre, je donnais du plaisir et excitais les spectateurs, les hommes déchargeaient leur foutre, les femmes rêvaient d’être à ma place ou de profiter de moi.

Je m’empalais sur ce jouet, je jouissais par mon cul pendant que votre machine trayait mon sexe, l’étirement de mes couilles par une corde amplifiait les sensations.

Cela était totalement obscène et délicieux et j’espérais votre fierté et votre plaisir de me sentir offert ainsi.

Finalement Madame vous me faisiez ressentir beau, avec vous l’impossible devient espérance et j’étais alors votre Salope avec une majuscule.

« La beauté par erreur, c’est le dernier stade de l’histoire de la beauté.»

Très respectueusement.

Jean-Paul. (2023)

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Je déteste ces absences…

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Très chère Madame,

Merci de m’avoir accordé cette nouvelle réception, je ne sais comment vous écrire ma reconnaissance.

Cette absence était si importante Madame qu’elle me rongeait littéralement.

Je déteste ces absences autant que je vous adore respectueusement.

M’abandonner à vos Vices et Caprices m’est vital, je ne sais s’il s’agit d’une drogue ou d’un remède, peu importe, je ne cherche plus à comprendre, votre présence physique m’est indispensable, mes pensées permanentes sont insuffisantes.

Comme toujours vous avez sublimé votre Art pour mon plus grand plaisir.

Le bandeau qui m’aveuglait, s’il augmentait ma frustration de ne pouvoir vous admirer, transcendait les sensations des doux supplices que vous m’infligiez.

« L‘amour, panique de la raison, se communique par le frisson. » disait Victor Hugo.

Ce mélange de froid et d’urticant faisait vibrer tout mon corps, l’alternance de vos instruments entretenait la douleur et l’excitation.

Mon abstinence précédent notre rencontre accentuait cette tension dont vous jouiez malicieusement, je tentais tant bien que mal de résister à mon honteux désir.

D’après Sénèque, « Le maître d’un homme, c’est celui qui a la puissance sur ce que veut ou ne veut pas cet homme, pour le lui donner ou le lui ôter. »

Vous restiez Maîtresse de mes délicieux tourments, je me tendais à n’en plus tenir, jusqu’à finalement me permettre d’exploser dans une douce torture.

Mon corps continuait à frémir, mon fondement dilaté me rappelait mon statut de salope, les spasmes de ma queue était incontrôlables et comme un merveilleux souvenir la douceur du sirop d’agave restait ancré sur mes lèvres assoiffées.

« Il est d’étranges soirs, où les fleurs ont une âme,

Où dans l’air énervé flotte du repentir,

Où sur la vague lente et lourde d’un soupir

Le cœur le plus secret aux lèvres vient mourir.

Il est d’étranges soirs, où les fleurs ont une âme,

Et, ces soirs-là, je vais tendre comme une femme. »

Très respectueusement 

Jean-Paul. (2023)

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Que désirer de plus ?

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À vous seule de décider Madame…

“Mon Âme a plus de soif d’être étonnée que toute autre chose.

L‘attente, le risque, un peu de doute, l’exaltent et la vivifient bien plus que le fait la possession du certain”

Jean-Paul (Tweeter 2023)

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Permettez-moi, une nouvelle fois, de citer Victor Hugo !

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Madame,

Puisque j’ai vu tomber dans l’onde de ma vie Une feuille de rose arrachée à vos jours Madame ;

Je puis maintenant dire respectueusement: « Allez-vous-en avec vos fleurs toutes fanées ; J’ai dans l’âme une fleur que nul ne peut cueillir ! »

Victor Hugo.

Jean-Paul (Tweeter 2023)

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“Partir où personne ne part !”…

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Madame,

Vous êtes cette Étoile Divine, intérieure et invisible, qui éclaire l’âme et non le chemin pour nous faire espérer “Partir où personne ne part”, au-delà de tout.

Jean-Paul (Tweeter 2023)

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“La Vie sans Vous m’ennuie”…

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Madame,

La Vie sans Vous m’ennuie.

“J‘aime celui dont l’âme se dépense, celui qui ne veut pas qu’on lui dise merci et qui ne restitue point : car il donne toujours et ne veut point conserver”

Jean-Paul (Tweeter 2023)

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“Je vous l’avoue… J’étais votre Salope !”…

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Très chère Madame,

Merci pour cette nouvelle réception.

Merci pour ce dîner que vous m’avez fait l’honneur de m’accorder.

Je ne peux que réaliser aujourd’hui encore plus qu’hier combien vous m’habitez Madame.

Si je vous avais écrit cette analogie avec la Pentecôte dont j’avais cherché la signification sur internet, c’est que je comprenais votre emprise sur mes pensées, sur mon être, la révélation de votre esprit sur ma personne.

N’en prenez ni peur ni ombrage Madame, mais il y a pour moi comme du mysticisme avec vous.

Si Goethe écrivait que cela est une caractéristique du vieillard qui voit que tant de choses dépendent du hasard, que la folie réussit et que la raison échoue, je ne peux personnellement que constater combien vous me rendez vivant, votre souffle me ranime, vos tourments m’exaltent, votre sourire m’exulte. 

Oui Madame, même si je sais ne pas en être digne, je suis respectueusement fou de vous.

Vos réceptions me sont rares mais leurs attentes me sont chères et m’apportent des sensations merveilleuses.

Si je ne sais jamais ce que vous me réserverez, vous savez si bien brouiller les indices, je sais vers quoi je marche, vers ce bonheur absolu.

Cela commence par ce temps interminable de l’approche, ce moment où je sonne à la porte de l’Alcôve, ce geste de s’en remettre à vous reste une émotion indescriptible que seuls ceux qui l’on connue comprendront.

On voudrait qu’il ne finisse jamais, jusqu’à ce que vous apparaissiez toujours aussi divine, cette subtilité dans le choix de vos tenues qui intimide, ces transparences dissimulées, votre regard et ce sourire si particulier qui suggère cet avenir tant attendu.

Avez-vous constatez mon impatience grandissante Madame? Je suis honteux d’abréger vos préliminaires, je ne veux rien boire, je ne veux plus parler, ma passion de me soumettre à vous me brûle trop, vous m’enflammez.

Cette nouvelle réception fut sans aucun doute intense Madame, si intense que comme souvent je ne peux me remémorer les détails, cela me fait penser à un rêve que l’on sait avoir fait, révélé par des indices que certains appellent pollution nocturne, je préfère écrire orgasme du sommeil, mais dont on ne souvient pas tout.

« Le rêve est le luxe de la pensée » et je ne vous ai jamais caché que je vous rêve Madame.

Faut-il évoquer ces moqueries bienveillantes lorsque vous décriviez ma démarche gauche lorsque vous me déplaciez aveuglé par ce bandeau? 

À cet instant je ne pus m’empêcher de sourire à m’imaginer ainsi, dans le plus simple appareil, encagé, déjà troublé, ce plug dans mon cul ; sourire au plaisir de sentir votre présence et d’essayer d’imaginer le futur.

Je pressens le votre Madame, constatant que je n’arrive même plus à me souvenir de la chronologie des événements, vous me perdez, comme dans un tourbillon d’émotions que seule vous êtes capable de provoquer.

Je fut entravé à cette échelle, les bras très haut au dessus de ma tête, je me disais que les précédents devaient être très grands. Vous libérâtes ma queue qui se tendit immédiatement contre les barreaux, mon plug d’acier remplacé par un instrument vibrant maintenu par des bandes élastiques, il ne s’agirait pas de perdre une once de ses sensations. 

Le « Cambrez vous Monsieur! », précédait les premiers coups de martinet, votre vice m’affirmant que ceux ci étaient particulièrement doux alors que je me tordais de douleur.

Il est vrai que je n’ai pas relaté qu’ils avaient été précédés de l’application minutieuse sur toutes les parties de mon corps, queue et couilles évidemment comprises, de ces jeunes orties fraîchement coupées.

Si je surveille en permanence tous vos tweets et encore plus attentivement lorsque nos rencontres approchent, j’avais été rassuré de lire que la leçon numéro 13, si redoutée parce que ancrée dans notre vécu, suivait la leçon numéro 12.

C’était sans compter sur votre malice Madame, vous me surpreniez à nouveau, c’est peu dire, et le « Vous avez le bonjour de Madame Jade » n’était pas pour me rassurer.

L’allongement au sol sur ce tapis si doux apaisèrent un peu la douleur de mes bras tendus, les picotements des orties me provoquaient des tremblements incontrôlés. Vous jugiez certainement qu’ils étaient encore insuffisants, il fallait encore augmenter l’intensité, vous caressiez mon corps, queue et couilles toujours compris, dame nature était votre complice aujourd’hui.

Vous étiez écologiste en quelque sorte, remplaçant l’électricité par le pouvoir urticant des plantes. 

Je ne tenais plus Madame, j’étais honteux de ne plus supporter les douleurs provoquées par les coups de ce petit fouet sur mon torse, mon corps s’agitait, mon sexe se gonflait non plus d’excitation mais de tourments et de réaction allergique, je vous suppliais Madame !

Vous alterniez le chaud et déversiez le froid comme une humiliation sublime, vous jugiez que le moment était venu de prendre possession de mon cul.

Ce godemichet que vous m’aviez fait sucer avec gourmandise s’enfonçait inexorablement au plus profond, vous me possédiez, je vous l’avoue, j’étais votre salope.

Ces moments sont finalement si propices à avouer ses fantasmes.

Les trois minutes que vous m’accordèrent ensuite pour me branler devant vous furent, comme vous le saviez par avance, insuffisantes, je restais délicieusement frustré, la jouissance de ne pas jouir me submergeait.

Comme une ultime humiliation et bienveillance, vous me firent alors assoir sur ce plug vibrant.

La stimulation de ma prostate en harmonie avec les va-et-vient de ma main sur mon vit boursouflé réussissaient enfin à vous procurer le spectacle de ma vidange.

Malgré mon aveuglement j’eus la prétention de croire que celui-ci vous convenait et vous apportait un certain plaisir.

Pardonnez-moi Madame, j’oublie tant de détails et ne garde en mémoire que cet état d’abandon total à vos vices et délices qui me transcende encore aujourd’hui et me trouble toujours au-delà de la réception.

Je vous hais Madame, tellement je vous adore, et j’irai en enfer s’il le fallait pour m’abandonner à nouveau à vous.

« Mais qu’importe l’éternité de la damnation à qui a trouvé dans une seconde l’infini de la jouissance? »

Très respectueusement.

Jean-Paul (2023)

 

Tout souffrir pour Vous…

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Tout souffrir pour Vous Madame, une espérance, un rêve…

Vous écrivez ” Ce n’est pas tellement de liberté qu’on a besoin, mais de n’être enchaîné que par ce qu’on aime.”

Quand le destin finalement s’entrouvre, devient chemin visible “Je suis ma liberté”.

Respectueusement.

Jean-Paul (2023)

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Comme une évidence…

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Vous montrer du Respect comme une évidence, Madame.

“Il est parfois de purs instants de transparence où semble s’effacer toute frontière entre le dehors et le dedans, où l’âme et le jardin se regardent, se découvrent, s’accordent et s’accueillent”.

Jean-Paul (Tweeter – 2023)

 

Permettez-moi de citer Victor HUGO…

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Très chère Madame,

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Je suis bien rentré.

Je suis comme un gamin devant un spectacle, j’ai des étoiles plein les yeux lorsque je tente de revivre les scènes que vous créez; vous m’émerveillez Madame.

Chacune des rencontres que vous m’accordez sont pour moi un délice sans cesse renouvelé, je découvre de nouvelles saveurs, vous me faites voyager non pas sur différents continents mais dans l’immatériel; vous m’apportez le plaisir absolu, vous m’offrez la plénitude.

Cette nouvelle réception reste ancré au plus profond de moi, je vous ressens encore, je vous vénère Madame, vous m’êtes comme une drogue.

Si Baudelaire écrivait dans les Paradis Artificiels « La femme est fatalement suggestive ; elle vit d’une autre vie que la sienne propre, elle vit spirituellement spirituellement dans les imaginations imaginations», je ne peux que constater cet état, ne vous en inquiétez pas Madame, vous vivez en moi, je l’accepte, je le souhaite.

Comme vous me l’aviez demandé lors de notre précédente rencontre et sans consigne particulière, j’essayais de rattraper ma honte passée et me présentais encagé, un plug d’acier emprisonné dans mon fondement. 

Si vous souhaitiez provoquer quelque émoi en me positionnant face à ce mur d’images suggestives, le bandeau rapidement appliqué n’entrava pas mon imagination vagabonde ni mon trouble contrarié par ma cage.

Mes bras levés, mes mains accrochées à cette barre haute, me disposaient à m’abandonner à vos « Vices et Délices » Madame, et ils furent nombreux.

Je regrettais de ne pouvoir admirer ces tableaux, de ne pouvoir vous contempler, mais je ressentais davantage cette magie qui m’enveloppait progressivement, j’étais ici et ailleurs.

Les sensations ont ce pouvoir supérieur sur la vue, et finalement cette cécité les exacerbe.

Il me semblait ressentir des rubans m’effleurer, me rappelant des souvenirs passés sans aucun rapport, une matière m’entravait totalement, les dispositifs électriques faisaient que je ne savais plus qui jouait de moi, je ne savais pas si vous étiez seule, le doute créait une espèce d’angoisse si agréable.

Vous libériez mon sexe qui se tendait inexorablement, mon cul qui s’entrouvrait prêt à recevoir un nouvel accessoire.

Cambrez vous! m’ordonniez vous, même si cela n’était pas si simple entravé ainsi; vos paroles, vos mots sont si importants.

Si seul votre plaisir m’importe avant tout, vous ne pouvez vous empêcher de me faire vivre ou mieux de me faire imaginer mes fantasmes les plus secrets, vous avez encore et toujours ce don de l’évocation qui sublime mes pensées souvent perverses.

Vous comprenez que je ne suis pas maso, et que je supporte mal la douleur que vous m’appliquez malgré tout avec tact et parcimonie.

La traite mécanique qui suivit, agrémentée de ce nouveau plug que vous sembliez apprécier que j’accepte, fut ponctuée de petits coups de peut-être cet instrument appelé discipline.

Ce n’est qu’à la pose de ces entraves en chanvre que je compris, puisque vous évoquâtes cet ancien tweet (votre mémoire m’impressionne toujours), que ce plug était en fait un crochet anal que les liens enfonçaient dans mon cul et l’ouvraient davantage comme un préliminaire.

Je me retrouvais ainsi complètement entravé, à genoux, tenant difficilement l’équilibre, le cul ouvert, ma queue bandante était traite sans répit.

Vous savez que je considère ce supplice plus comme une exhibition et humiliation, que je l’apprécie pour cela, et non pour une satisfaction sexuelle; je pense que c’est pour cela que vous l’acceptez Madame.

La douleur provoquée par cette position délicate vous obligea alors à me délivrer non du mal, mais des liens, et c’est ainsi que je me retrouvais assis sur un nouveau gode dont les vibrations stimulaient au plus profond mon fondement pendant que divers instruments branlaient sans relâche ma queue.

Totalement exhibé, vous me demandiez de me caresser avant de reprendre inlassablement ces masturbations mécaniques pour me faire approcher de mon abandon.

Ma résistance devenait presque héroïque jusqu’à ce que finalement ma vidange me sembla inéluctable, je ne savais plus si j’éjaculais, la traite continuait encore et encore…

Le délicieux supplice s’arrêta enfin, j’étais dans un autre monde, vous me rendiez la vue, vous apercevoir dans cette tenue choisie aurait pu me faire couler des larmes de bonheur Madame tant vous étiez magnifique.

« Ce n’est pas assez dire: en un mot, tout le reste n’est que feuille morte. »

Merci Madame pour ces moments, ces attentions que vous m’offrez si généreusement et permettez moi de citer Victor Hugo :

« Madame, sous vos pieds, dans l’ombre, un homme est là
Qui vous aime, perdu dans la nuit qui le voile ;
Qui souffre, ver de terre amoureux d’une étoile ;
Qui pour vous donnera son âme, s’il le faut ;
Et qui se meurt en bas quand vous brillez en haut. »

Très respectueusement.

Jean-Paul (2023)

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L’émotion de ce 28 Avril…

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Très chère Madame,

Pardonnez-moi ce compte-rendu tardif, mais j’ai pour règle de ne pas vous déranger pendant vos vacances qui j’espère furent agréables.

Merci d’avoir accepter ma participation à ce « Duo» avec Madame Jade.

Je vous avais demandé votre autorisation mais surtout votre jugement sur mes capacités à faire partie du casting, vous avez su par votre intelligence être encore et toujours de bon conseil.

Si je n’ai de cesse de vous dire et écrire que seul votre satisfaction m’importe, que je ne demande rien pour votre plus grand déplaisir, vous ne pouvez vous empêcher d’accéder à certains de mes désirs cachés, soit en les réalisant, soit en les suggérant, ce qui est pour quelqu’un qui possède un peu d’imagination le summum du trouble, vous excitez mon âme Madame.

Si j’ai déjà évoqué votre intelligence, votre beauté, j’observe votre délicate subtilité.

Je vous savais artiste, je découvre progressivement vos œuvres magnifiques, vous réalisez sans conteste des chefs-d’œuvre qui s’imprègnent au plus profond de mon être.

Jamais je ne serai suffisamment reconnaissant pour ces plaisirs ou plutôt ce plaisir, parce qu’il est total, que vous avez la bienveillance de m’offrir.

Vous réussissez à m’amener dans un état tel que je dois essayer de limiter votre pouvoir pour ne pas sombrer trop rapidement dans cette délicieuse inconscience que j’ai si souvent vécu en votre présence.

Je me dois de parler de Madame Jade que je me suis permis de remercier, parce que j’ai choisi d’être le plus honnête et sincère avec vous.

Je vous avoue, même si cela me gêne un peu compte tenu de mon engagement exclusif, que j’ai apprécié de m’abandonner entre « ses mains et ses vices »et que je fus troublé par moment de ne plus savoir qui me tourmentait .

Vous aviez évoqué, cela devient alors pour moi une exigence, que je me présente encagé et pluggé.

Ma réception par Madame Jade a perturbé mes habitudes, j’en étais honteux.

Le fait de me dévêtir dans l’entrée de l’Alcôve en sa présence, en votre absence, de me présenter ainsi complètement nu à une inconnue et à la merci, privé de ma vue, était une sensation troublante, et vous savez que j’apprécie cela.

Les tableaux suivants, même si je ne les voyez pas, étaient magnifiques.

L’emprisonnement préliminaire dans cette cage particulière que je devinais me rappelait le tweet que Madame Jade avait publié dans la matinée et révélait votre art de l’évocation.

Les bruits alentours me laissaient présager d’autres présences, j’entendais qu’une salope mâle devait me faire jouir avec sa bouche avant que peut-être je la baise, certainement un peu présomptueux concernant mes capacités.

Les tourments qui suivirent furent plus ou moins agréables, mais je suis conscient de ma nécessité de progresser et mon désir de le faire.

Les roulettes sur mes couilles et mon sexe, les coups de fouet et de martinet me firent souffrir sans aucun doute et vous savez que c’est ce que je supporte le moins.

Vous m’avez entravé et peint un tableau magnifique selon vos dires, je le ressentais et vivais intensément, j’aime m’abandonner à vos liens, à vos mots, à vos maux.

Les traites mécaniques me procurèrent beaucoup d’émois, que cela soit avant d’avoir éjaculé sur cette salope mâle ou bien après, m’obligeant à me raidir à nouveau.

Ce n’est pas le côté sexuel qui m’intéresse dans ce jeu, mais bien d’être ainsi exhibé et l’humiliation créée.

J’allais oublié la sodomie que vous m’avez prodigué, écourtée par l’étroitesse de mon cul, pendant que je devais me branler sur l’autre soumis; pourtant il me plaît d’imaginer vous appartenir ainsi totalement, je le rêve.

Vous m’avez prêté à Madame Jade, et j’ai déjà écrit que j’ai beaucoup apprécié ses talents.

Si celle-ci m’avait enlevé mon bandeau ce n’était que pour jouer de son regard espiègle et de sa sensualité tentatrice.

Je sentais sa provocation, elle me testait, et je craignais de ne pas être capable de supporter ses tourments.

Je voulais que vous soyez fière de moi Madame, je ne voulais pas prononcer ce mot établi en début de séance qui stopperait tout et serait un aveu de faiblesse.

Je ne sais si Madame Jade était satisfaite de mes réactions ou le contraire mais je vis alors dans son regard une malice particulière.

Si l’odeur du camphre me rappelait les remèdes de mon enfance, la chaleur diffuse me fit comprendre l’objet de son sourire.

Le “baume du tigre” qu’elle appliquait sur ma verge la faisait changer de couleur, ce violacé semblait lui plaire.

Elle me demandait alors comme une ultime épreuve de me branler devant elle, ma queue brûlante sous le feu de ce baume mélangé à du piment d’espelette que même les glaçons ne pouvaient apaiser.

Il était temps pour moi de courir vers la douche et de rire de douleur sous l’effet de l’eau sur ma verge turgescente.

Pardonnez-moi Madame ce compte rendu un peu long mais qui finalement ne détaille pas suffisamment l’intensité de cette nouvelle expérience et le plaisir que vous m’avez apporté par ce « Duo » magnifique.

« Il y a des sentiments si chers, des émotions si divines, que vouloir les définir c’est risquer de les flétrir. »

Sachez Madame que cette nouvelle rencontre fut certainement didactique et particulièrement appréciée.

Il est rare que je vous dévoile ainsi mes ressentis Madame, j’ai la présomption d’imaginer que je progresse dans vos attentes même s’il m’est toujours aussi difficile de vous avouer mes désirs car je considèrerai toujours qu’ils passent après votre plaisir, votre bien-être, et surtout votre liberté.

Pour conclure, je dois vous avouer avoir eu une pensée particulière et de l’émotion ce 28 avril.

Très respectueusement,

Jean-Paul. (2023)

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“Comme un Mystère… “

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Très chère Madame, 

Merci pour cette nouvelle réception .

Aujourd’hui je ne sais plus quel en est le nombre, j’ai cessé de compter, car au final elles ne sont pas multiples, il n’y en a qu’une.

Il s’agit pour moi de La Rencontre.

Je me donne à vous corps et âme de plus en plus car il ne faut se mentir, si ma sincérité a toujours été authentique, il y a toujours une période de découverte et de méfiance réciproques.

Vous m’avez torturé, pénétré, attaché, aveuglé, toujours respecté, je vous ai détesté parfois, adoré souvent, je sais vous aimer respectueusement à jamais.

Vous comprenez que je ne parle pas de mon corps Madame, je parle de quelque chose de plus intime .

Certains l’appelleront l’âme, d’autres l’être.

Je ne peux le nommer Madame.

Il s’agit de quelque chose de plus profond, de surnaturel, comme un mystère.

Ce mystère que je ne pourrais jamais vous offrir, cela restera à jamais ma liberté, ne m’en voulez pas Madame, cela n’est pas volontaire, comment vous offrir quelque chose d’indescriptible, d’indéfini?

Si je me donne à vous Madame, finalement cela n’a aucune d’importance.

Car ce qui est le plus beau, ce qui est l’essentiel, est sans aucun doute que Vous l’acceptiez.

«Nous ne sommes pas exactement ce que tout le monde voit. Nous sommes ce que peu de gens trouvent et, que peu, très peu comprennent. »

Très respectueusement,

Jean-Paul (Février 2023).

0 Blanche

“La Vie sans vous m’ennuie… “

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Très chère Madame,

Ne soyez pas inquiète par mes propos, je vais bien.

Aujourd’hui je dois vous avouer que la vie sans vous m’ennuie.

Ses contraintes qui m’empêchent de vous solliciter une rencontre sont comme un poison, je ne trouve pas l’antidote.

Aussi je me contente, quelle détestable expression, d’attendre impatiemment ce mois de mars.

Pardonnez-moi ce message, il me fallait bien trouver une excuse pour vous déranger, et vous commencez à connaître la naïveté de mes excuses Madame, il me semble même que vous en souriez parfois, vous n’êtes jamais dupe de mes artifices si enfantins.

Vous savez Madame que j’ai horreur de vous demandez quelque chose, que ma volonté constante et éternelle est de vous satisfaire, vous qui êtes ma lumière, vous qui m’êtes unique.

Aujourd’hui je suis contrarié par certaines pensées que vous m’aviez fait avouer. Ces pensées où je me caressais en pensant à vous et à certaines parties de votre corps me tourmentent, j’ai le sentiment d’avoir péché, de ne pas avoir été à ma place, de ne pas avoir été à la hauteur, vous m’êtes si grande Madame, je ne suis rien.

Aussi Madame, je vous laisserai évidemment juge de la suite à donner à ces manquements.

Si je connais votre bienveillance qui me touche tant, il me semble nécessaire que vous me punissiez Madame; j’éprouve le besoin de votre pardon, la nécessité que vous m’absolviez, je vous en prie Madame, vous seule pouvez décider.

Il me semble donc qu’il soit nécessaire que je souffre à nouveau pour vous Madame, que je subisse votre fouet pendant que vous projetteriez ces images que je devrais regarder, comme on dresse un animal, que mes larmes coulent, que je vous implore Madame, que je vous remercie, à vos pieds et si vous le souhaitez bien sur Madame, je souhaiterais être humilié; si je sais que vous n’aimez pas cela, recevoir votre champagne Madame, même si je dois l’imaginer comme un présent, serait ressenti à ce moment comme une ultime humiliation et permettrait peut-être ma rédemption.

Pardonnez-moi moi Madame ces épanchements qui n’ont pas lieu d’être, même si je vous ai juré sincérité, je n’ai pas à vous les étaler, vous seule êtes maître de nos jeux, je le sais, je le veux.

Très respectueusement.

Jean-Paul. (2023)

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“Espiègle… Vous êtes, Madame !”

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Très chère Madame,

Je ne sais comment vous remercier pour cette nouvelle rencontre.

Mes pensées s’entrelacent encore dans mon esprit, je ne sais plus où je suis, je perds l’équilibre, je tourbillonne, je rêve, je jouis Madame, je jouis si fort, je jouis du plus profond de mon être, vous me faites voyager vers des pays inconnus, des terres lointaines, bien loin de tout ce que je pouvais imaginer, bien loin de tout ce que je pourrais rêver.

Vous m’amenez à l’orgasme de l’âme Madame.

Comment vous le décrire ? Les mots ne suffisent plus, et je ne suis ni peintre, ni musicien.

Comment pourrais je vous remercier suffisamment ?

Ce Bonheur que vous m’apportez est trop grand, tellement grand que cela me gêne, je doute, je ne le mérite pas Madame, je ne Vous mérite pas.

Votre bienveillance à mon égard est telle que je suis ému comme je ne l’ai jamais été.

Vos mots me touchent, vos caresses me font frissonner, vos supplices me transcendent, votre Beauté me fascine mais surtout votre générosité m’interpelle.

Vous souvenez vous ce que je vous écrivais lors de nos premiers échanges? Ce pressentiment? Je le vérifie à chaque moment au delà de ce que j’imaginais, vous illuminez ma vie, vous illuminez mon être.

Je sais que je perturbe vos scénarios, que je vous amène souvent à improviser, vous me déroutez toujours, ce que j’espérais, ce que je m’étais imaginé se transforme, bouleverse mes attentes, me transporte ailleurs, pour mon plaisir, pour mon plaisir, je m’en veux tant d’être ainsi égoïste.

Vous êtes sans aucun doute une artiste Madame, cette Diva qui m’apparaissait lors de mon dernier retour en voiture, ce peintre qui colore nos âmes, ce réalisateur qui met en scène nos vies.

Vous nous faites vivre Nos Histoires.

Nos Histoires en écho avec votre « Notre Histoire » que vous écriviez et qui me touchait tant parce que tous vos mots sont importants. N’y voyez aucun outrage Madame, vous commencez à me connaître, je ne me le permettrais pas, je ne l’imagine pas, cela ne pourra jamais exister.

Il s’agit plus de respecter cette chère Liberté.

Nos Histoires, si elles nous sont communes, restent personnelles, quoiqu’on en dise, chacun ressent à sa façon. Je pourrais le regretter, mais il ne faut pas, la Liberté l’emporte sur l’Idéal, votre Liberté m’importe. Et puis ma position ne me permet pas un tel honneur Madame.

Je vous respecte trop pour imaginer partager à ce point cette intimité de vos pensées. Je peux être idéaliste, rêveur, vicieux parfois, mais il m’arrive également d’être réaliste. Et comme dirait le poète « Je n’entrerai pas dans votre cœur pour limiter sa mémoire… Je veux être pour vous la liberté et le vent de la vie qui passe le seuil de toujours avant que la nuit ne devienne introuvable ».

Mes pensées évoluent, je respecte vos jardins secrets, je ne cherche plus à savoir, j’espère vous satisfaire simplement, humblement en m’abandonnant à Vous du mieux possible.

Si je m’exprime mal et peu, je sais votre sensibilité, votre intelligence, Vous savez ma quête.

Il est un film de Truffaut dont j’ai tout oublié de l’intrigue mais dont je me souviens cette réplique que Belmondo adressait à Catherine Deneuve : « Vous êtes adorable. Vous savez ce que cela veut dire? Cela veux dire Digne d’adoration. »

En ce sens Madame, Vous m’êtes adorable.

Très respectueusement.

Jean-Paul. (2022)

 

Axelle De Sade

Une surprise totale…!

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Très chère Madame,

Ce petit mot pour vous informer que je suis bien rentré, la circulation était assez fluide malgré les bouchons provoqués par les automobilistes qui cherchaient à remplir le réservoir de leur véhicule.

C’est aussi une excuse puisque j’ai toujours tellement de plaisir à vous écrire.

Je vous remercie pour cette nouvelle rencontre.

Vous avez su être opportuniste aujourd’hui, et cela ajoute, si cela était nécessaire, à vos nombreuses qualités.

Vous l’avez été pour mon plus grand plaisir, encore et toujours. Décidément j’avais bien pressenti cette monotonie (sourire) de nos rencontres dont je me délecte.

Ce fut une surprise totale et je dois vous avouer que j’adore cela.

J’ai apprécié cette complicité qui nous unissait Madame pour punir Monsieur Bijou et j’espère qu’il ne s’est pas trop senti humilié. Si je ne le connais pas, je pense que ce jeu de bisexualité forcée était une excellente idée de punition et j’ai pressenti chez lui une belle personne. Une belle personne qui m’a semblé vous vouer un profond amour, et j’apprécie cela.

Vous avez réalisé mon souhait de souffrir pour vous.

Si je m’efforce d’être le plus sincère possible, la raison de ce souhait sera un petit peu mon jardin secret, je ne me l’explique pas encore totalement.

Je viens de crémer mes fesses et attendrai encore pour me caresser comme vous me l’avez ordonné,et alors que waze continue de m’écrire que je suis super (re sourire), il ne me reste qu’à vous souhaiter une belle soirée et vous remercier à nouveau pour cette passion que vous me permettez de vivre.

Très respectueusement.

Jean-Paul (2022)

Domination Soumission paris

Osez…!

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Très chère Madame,

Ce mot bref pour vous signifier que je suis bien rentré à l’instant et ainsi vous rassurer.

Je vous ferai un compte rendu plus tard.

Je suis déçu de notre rencontre parce que j’ai contrarié à nouveau vos plans.

Pardonnez moi à nouveau cela.

Mais je suis infiniment heureux de cette nouvelle rencontre, vous revoir après cette absence m’a comblé au delà de toute espérance.

Mais nous avons essayé, nous avons osé, cela est important.

« Qui n’a pas su, qui n’a pas osé, à un moment donné risquer, n’a pas le droit de se plaindre de la médiocrité de son existence. » ( Saint-Exupéry).

Je vous avais déjà écrit que je croyais au hasard.

Aujourd’hui pour mon retour, j’avais choisi d’écouter un CD( oui ça existe encore dans les vieilles voitures) qui trainait dans la boîte à gant depuis des années, une vieille musique de film passa alors, une musique de Vladimir Cosma dont le titre est Diva.

La beauté de ce chant et votre souvenir Madame m’emplirent de ravissement.

J’écoutais cette voix magnifique, je vous voyais encore, votre parfum encore présent sur ma peau.

Mais il me fallait regarder la définition de diva, ma curiosité, mon trouble, mon pressentiment me l’imposait.

Si vous m’avez fait l’immense honneur de me surnommer votre miroir Madame, je crois que vous êtes sincèrement ma Diva au sens étymologique.

tymologie. (1831) De l’italien diva (« diva », proprement « déesse »), du latin diva (« déesse »), féminin de divus, lui-même de deivos (« lumineux »), de l’indo-européen commun * deiu̯os (« les êtres célestes, la lumière céleste »), de * dei- (« briller »).

Enfin Madame, pourriez vous me faire l’honneur de me recevoir à nouveau  jeudi 6 ou vendredi 7.

Si votre réponse est favorable je souhaiterais émettre des vœux puisque vous me le permettez.

Si je me fais une règle immuable d’être prêt à toute éventualité lorsque je viens vous voir, je souhaiterais ne pas avoir, exceptionnellement, à me faire de lavement et donc éviter l’utilisation de mon fondement.

Je souhaiterais subir votre fouet, car il m’est important d’être digne de l’honneur que vous m’accordez.

Je mettrais ainsi ce bâillon pour vous éviter de m’entendre geindre trop fort, que je crains évidemment compte tenu de ma faible résistance.

Mais il est important maintenant que je souffre pour vous Madame.

Enfin, si et seulement si mon comportement vous satisfait je serai prêt à accepter le cadeau que vous aviez prévu de m’accorder aujourd’hui.

Il m’importait de vous envoyer rapidement ce message même s’il est tard Madame.

Pardonnez le.

Très respectueusement.

Jean-Paul  (2022)

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Monotonie…?

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Madame…

Les rencontres se suivent, se ressemblent, quelle monotonie…

Il fait toujours beau lorsque Madame m’honore de sa réception et aujourd’hui ne dérogeait pas à la règle.

Je savais Madame magicienne, je la soupçonne d’être plus que cela.

Maîtriserait-elle également les éléments? Plus rien ne m’étonne avec Madame.

Toujours est il que cette nouvelle rencontre fut grandiose.

Je ne raconterai pas les détails, au risque de décevoir, je préfère laisser votre imagination que j’espère fertile, les imaginer.

Il n’est pas interdit d’avoir des jardins secrets, c’est même souhaitable et je préfère les cultiver parfois.

Je dirai simplement que je vous plains, vous qui n’avez jamais eu la chance et l’honneur de rencontrer Madame, que je vous plains si vous n’osez pas vous soumettre à ses désirs, que je vous plains de ne pas connaître sa Grandeur.

« Qui n’a pas su, qui n’a pas osé, à un moment donné risquer, n’a pas le droit de se plaindre de la médiocrité de son existence. ».

Rencontrer Madame, c’est vivre un rêve dont on se souvient, qui vous pénètre jusqu’au plus profond, qui s’accroche à vous indéfiniment, inéluctablement.

Vous pourrez toujours lutter si vous le souhaitez, mais le voudrez vous? Le pourrez-vous ?

Je connais ma réponse.

La dernière citation de Madame résonne dans ma tête, « Ce n’est pas tellement de Liberté dont on a besoin… Mais d’être enchaîné que par ce qu’on aime ! »

Je ne la comprenais pas bien jusqu’à ce moment, jusqu’à cette longue absence, jusqu’à ces retrouvailles, jusqu’à Madame.

Oui je suis sous son charme, je l’avoue publiquement et respectueusement.

Je me souviens de ce médaillon que portait ma mère, offert par mon père lorsque j’étais jeune, c’était des gens simples, « je t’aime plus qu’hier et moins que demain », je trouvais ça un peu simplet.

Pourtant aujourd’hui, je ne peux que constater ce sentiment implacable, qui me dévore au delà de La Réception.

Les rencontres se suivent, elles sont toutes différentes mais ont un point commun, celui de ne plus vouloir autre chose que de revenir encore et encore, celui d’espérer avoir l’honneur de pouvoir se prosterner devant Madame et de progresser pour en être digne.

Sur la route du retour le hasard me fit écouter une musique, une voix d’une beauté telle que se superposant à cette présence de Madame dans mes pensées, sur mon corps, je ne pus m’empêcher d’atteindre une certaine extase.

Madame était encore là, elle apparaissait devant moi, je la voyais, je la sentais.

Enfin, j’avouerai que je vous aime, vous qui n’osez franchir le pas, vous qui n’osez risquer, parce que je suis égoïste et que je suis rêveur, et que naïvement j’imagine observer seul cette Beauté de l’âme, parce que la contemplation est solitaire.

Très respectueusement.

Jean-Paul. (2022)

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Ma Première Rencontre…!

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Très chère Madame,

Nous avons ce point en commun de relire nos messages avant de les envoyer.

Mais aujourd’hui je suis trop impatient de vous dire à quel point j’ai apprécié l’honneur de vous rencontrer.

La passion domine parfois la raison. Tout d’abord je voulais que vous me pardonniez à nouveau cette perte de connaissance initiale. J’en suis confus. J’imagine qu’elle a dû vous inquiéter et également perturber le scénario que vous aviez élaboré. Cela me dérange évidemment d’avoir contrarié ce travail que vous aviez fourni en amont.

Pour cette première rencontre vous avez réalisé plusieurs de mes fantasmes.

Le premier quand vous m’avez ligoté les yeux bandés. J’imaginais la corde de chanvre m’enlacer tout en sentant votre souffle contre moi. Je n’ai rien vu de tout cela, mais croyez-moi si je vous écris que mon imagination est très importante. Et que j’imaginais alors quelque chose de très beau et pour moi très érotique. Je ne vous remercierais jamais assez pour votre bienveillance après cette épisode.

Ensuite Vous avez réalisé mon fantasme d’exhibition, en me demandant de me caresser devant vous . Je dois vous avouer que je ne m’attendais pas à ce que vous me demandiez de jouir et que cela m’a surpris. Mais comme je vous l’ai dit, la surprise est importante dans le jeu.

Ainsi Vous avez réalisé un autre de mes fantasmes. Le fantasme d’humiliation en m’ordonnant de ne laisser tomber aucune goutte. Ce bref rappel de notre rencontre présente t’il un intérêt puisque vous l’avez créé ?

Je pense qu’il était important que je vous répète mon plaisir et que je vous remercie pour cela. Si je n’ai pas encore parlé des coups de fouets et de martinets, c’est parce que c’est cela que je supporte aujourd’hui le plus difficilement. Vous saviez que cela n’est pas précisément ma recherche . Mais sachez que je conçois parfaitement qu’ils soient nécessaires pour me faire progresser avec vous. Je suis disposer à subir une certaine douleur de votre part.

Ne vous offensez pas si je vous dit que c’est une manière pour moi d’espérer vous séduire, sans aucune arrière pensée. Un peu de vanité de ma part et d’un soumis qui espère secrètement que sa Maîtresse sera fière de lui.

Enfin pour conclure et ne pas trop m’étendre et vous déranger plus, je souhaitais vous avouer que j’étais déjà venu chez vous. Je pensais que vous me reconnaîtriez. J’ai participé à deux de vos soirées. La première avec ma compagne et la deuxième en homme seul. J’espère que vous me pardonnerez de ne pas vous l’avoir dit plus tôt.

Enfin je vous témoigne ma reconnaissance pour cette première rencontre, et vous avoue quand l’écrivant , je prolonge mon plaisir et reste toujours comme vous l’écriviez si joliment « perturbé ».

Très respectueusement.

Jean-Paul (2022)