Témoignage 2023

“Ces mots, témoins d’émois… Nous appartiennent à jamais !”

Témoignages de plus récents au plus anciens…

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” M I E “…

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Très Chère Madame, 

Comme Vous m’ y avez invité, j’ai laissé l’eau de la Seine couler plus de 24h, pour refroidir mon corps et mon esprit pour atteindre une température convenable pour un débriefe “à froid” de cette visite à l’Alcôve.

C‘est donc dans cet état de corps et d’esprit que je Vous adresse ces quelques mots,

Bien sûr je m’attendais à une rencontre “Haut de gamme, magnifiée par le parcours initiatique en train et la visite du beau musée Camille Claudel en touche finale d’une longue attente et d’une préparation aussi attentive qu’agréable pour faire monter l’envie. Mais sans commune mesure avec ce que fut en réalité cette rencontre.

L’accueil dans votre ville au Musée Rodin par ce postulat en lettres argentées sur la couverture du recueil de photos de Philippe Bram disposé à droite de l’entrée aurait du rester anodin : “La lumière procède du noir”.

C‘était sans compter sur la magie qui était à l’oeuvre dès les premières secondes après avoir franchi le seuil de l’Alcôve. Je pénètre dans l’ombre après avoir marché sous le soleil lumineux d’un guai printemps.

Un premier éblouissement intense quand je vois pour la première fois votre silhouette et croise votre regard soutenu par un sourire radieux, témoin d’un accueil chaleureux. Puis très vite vient le noir total dans lequel vous me plongez par un bandeau sur les yeux. L’occasion d’établir un contact encore bien plus intense par vos mains qui guident les miennes. Mes sens sont aux aguets dans le noir: Le timbre de votre voix, la mélodie de la musique, les effluves de la cheminée… Tout est là pour aiguiser les sens. Sans croiser le regard de l’inconnue qui pourrait me juger ou m’inciter, le noir m’aide à parler vrai avec le Coeur…

L‘essentiel est invisible pour les yeux, nous enseignait le poète-aviateur (St Exupéry) qui transportait des baisers et des lettres d’amour dans son Latécoère lourd.

C‘est quand le noir de la nuit est bien établi que commencent les feux d’artifice l’été au bord de la mer. C’est naturellement à ce moment que vous faites partir les premières fusées que l’on ne voit que dans le noir profond.

Vos mains qui défont ma cravate… La belle bleue. Elles descendent et effacent mon string avec votre souffle si proche… La belle rouge, pardon la belle jaune, le rouge arrête la magie. La sensation inconnue qui glisse sur tout mon corps…. Un glaçon fondant sous l’effet torride du climat de la pièce… La belle verte ! Les vibrations simultanées dans mes bas orifices… Le bouquet de mise en bouche… Maintenant emplie de mon bas. Les décharges électriques sur tout mon corps et ses eXtrémités… La mitraillette posée sur la plage. Les claquements de lanières sur mes flancs et mes fesses, à droite à gauche, puis à droite et à gauche… La grande roue qui tourne dans l’air chaud. Trois coups très violents sur mes fesses… Les mortiers sourds qui montent très, très, très haut dans le ciel. Vos morsures sur mes tétons et le parfum de votre cuir sur mon corps allongé tout couvert de baume brûlant… Le bouquet final.

Je comprends que les enfants aient parfois peur des feux d’artifice en été, mais ils les font grandir en surmontant leur peur. D’ailleurs après, ils voient les étoiles dans le ciel de la nuit libre des fumées de fusées, qui révèlent leur place dans l’univers: minuscule et essentielle. Les mêmes étoiles qui ont pris le pouvoir dans ma tête pendant le feu d’artifice. Soyez-en assurée.

Puis la lumière revient, l’eau coule, et le champagne couronne la fête. Le temps d’un échange précieux et fort, qui conclut cette rencontre et pourtant ouvre tant de portes.

Le retour en train en pleine lumière aurait dû être banal. Mais en fermant les yeux pour me reposer, les étoiles reviennent et mon bas vente se tend vigoureusement. Lâche ironie du sort me dis-je, mais les étoiles étaient présentes, et c’est là l’essentiel me diriez-vous.

Depuis, pas une heure sans que ces étoiles reviennent illuminer mes pensées, lorsque mes mains frôlent mes tétons endoloris et mes hanches marquées frottent sur l’accoudoir. Ma journée de télétravail doit se transformer en journée au bureau pour m’aider à exhausser mes vœux de chasteté.

Veuillez accepter, Très Chère Madame, ma reconnaissance éternelle pour cette rencontre absolument inoubliable.

Je Vous prie de ne point accepter ces Fleurs que je Vous adresse aujourd’hui comme un remerciement poli. Elles sont à mes yeux, l’expression bien plus intense d’une évidence magique.

En chinois, la langue des petites chattes, le prénom Fleur, se prononce M E I, les initiales de Mon Eternelle Idole, cette oeuvre de Rodin qui a tant aiguisé mon désir au Musée Camille Claudel, et qui éclaire maintenant mes nuits. Comme vos couleurs préférées, le blanc et le noir, je n’oublierai jamais votre enseignement : La lumière procède du noir.

C‘est tard dans nuit que je termine, ces lignes. Et pourtant tout cela me semble si clair.

Pour bien Vous assurer que ce n’est pas une vicieuse fièvre encore sournoisement présente qui me dicte ces lignes, je Vous soumettrai dans quelques jours, si Vous le voulez bien, de nouvelles dates pour poursuivre ce voyage, après Le Baptême d’Epolas donc. Permettez-moi à cette occasion, de Vous souhaiter une très belle fête.

Bien à Vous très Chère Madame.

« Il y a des nuits où la vie des choses apparaît au grand jour, de sombres histoires deviennent le reposoir où la lumière mendie à la clarté. Une terre cuite, coulée dans le bronze saigne le sens de l’éphémère. »

Philippe Brame – photographe des œuvres de Camille Claudel.

Hervé à M I E (2023)

 

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J‘ai trouvé ce que je recherchais…

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Bonjour madame…

Me voici donc en mail quelques jours après ce moment dans votre Alcôve.
Le temps pour moi de reprendre les esprits et un peu de « recul » sur ce moment.

Beaucoup d’émotions, avant, pendant et après…
Beaucoup d’appréhension avant… pendant aussi mais finalement non justifiée au regard de votre attention.

Un grand moment lorsque vous m’avez ouvert la porte de l’Alcôve. Je me suis senti tout petit et très intimidé, par votre beauté, votre charisme et votre sourire.
Vous avez su garder le suspens en me bandant les yeux. Le mystère restait donc entier sur ce lieu magnifique. Mais cela maintenait également en moi cette « ambiance » que je recherchais.  J’étais sur le qui-vive en étant tout à la fois confiant dans ce que j’allais subir.  Votre attention, vos gestes pour me rassurer étaient parfaits.

Lorsque vous m’avez ouvert les yeux… Finalement le décor me paraissait moins impressionnant tant vous avez su user de ce bandeau. Le lieux (L’Alcôve) est magnifique et correspond totalement à ce que j’imaginais.

Vous êtes très attentive et avez su me faire progresser tout doucement, selon mon rythme. Et ça, je ne l’imaginais pas.

Notre conversation fut des plus agréables, avec toujours votre regard et votre sourire magnifique, mais si intimidant !

J‘ai trouvé ce que je recherchais, je ne suis pas allé « aussi loin » que ce que j’ai déjà pu vivre, mais j’ai vécu beaucoup d’intensités… et c’est bien l’essentiel.

Je garde une merveilleuse image de ce moment… J’espère pouvoir en vivre d’autres si vous l’acceptez, si vous m’acceptez.

À très vite Madame…

Jean-François (2023)

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Ma première venue à l’Alcôve en tant que soumise de Monsieur B...

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Le bandeau posé sur mes yeux à mon arrivée à l’Alcôve a décuplé l’excitation qui était la mienne depuis, déjà plusieurs jours.
Je ne savais pas si j’allais être simple spectatrice (ce qui avec le recul aurait été une totale frustration) ou soumise participante.
Vous, Madame, « Bijou » votre soumis / Monsieur B, mon dominant.
Être soumise à la volonté de Monsieur B et à la vôtre, tel a été mon univers cet après-midi. Après-midi ponctué d’excitation, de sensualité, de bienveillance…
La sensualité de votre souffle sur mon visage, de vos mains sur moi, de vos lèvres sur les miennes.
Avoir quatre mains s’occupant de moi, quel instant merveilleux parsemés de claques sur les fesses et de quelques coups du petit fouet ?

Les lanières du petit fouet (je ne connais pas son nom) tombant sur mes seins.
Après les deux ou trois premiers coups, je me demandais quand ils allaient s’arrêter puis… Je me suis surprise à attendre impatiemment que les coups suivants arrivent…

C’était étrange de me trouver en ces lieux en même temps que « Bijou » votre soumis qui est également Monsieur B, mon dominant. Il était attaché, vous m’avez dit de le sucer, je me suis exécutée sans savoir réellement si le plus excitant était de le sucer devant vous ou de le sucer parce que vous l’aviez décidé. Probablement un peu des deux !

Le WAND…
Monsieur B m’y avait déjà fait gouter quelques fois. Son effet sur moi, sa façon de me faire partir si loin, toujours avec une limite, ne sachant pas encore complètement lâcher prise. Il me fait un peu peur dans le sens ou, me faisant partir tellement haut, je ne sais pas quand ni comment je vais redescendre.
Petite pause nous permettant de reprendre nos esprits.
Votre soumis, Bijou était allongé sur le dos, les yeux bandés. A votre demande, je lui ai attrapé la tête afin qu’il me dévore, un peu déstabilisée par ma position, debout, passant sa tête entre mes jambes.

Pissez-lui dessus !

Je dois avouer avoir été surprise la première fois que vous me l’avez dit. En moi-même, je me disais « Non, ce n’est pas possible, je en peux pas faire ça ! »

La raison de ma présence m’est revenue, vous être soumise ; je devais m’exécuter mais je n’y suis pas arrivée. N’y voyez aucune désobéissance de ma part Madame, je n’y suis pas arrivée seulement parce que je n’avais pas envie d’uriner … Je suis encore trop jeune dans cet univers pour penser à envisager de vous désobéir.

Vous m’avez donné le nom de Petit Cœur, très joli nom. Nom par lequel vous m’appellerez (de la même façon que vous pourrez m’appeler par mon nom de soumise lors qu’il me sera dévoilé). Tout ce que je sais, c’est que lorsque je vous entendrais m’appeler : Mon petit cœur, je deviendrais immédiatement votre soumise.

Cette rencontre avec vous Madame, avec ce qui émane de vous, votre personnalité, votre façon d’être qui m’envoute m’a conforté dans mon ressenti de l’après de mes séances avec Monsieur B.

Je ne permettrais pas de « fanfaronner » ou de me vanter quant à me connaissances du monde du BDSM mais si je n’y ai pas encore trouvé mes limites, je sais que j’y ai ma place, grâce à Monsieur B, grâce à vous Madame.

Merci du temps que vous m’avez consacré. Je ne sais pas si vous aviez des attentes ou des exigences avant ma venue, j’espère y avoir répondu.

Votre petit Cœur. (2023)

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Chère Maîtresse, ou plutôt, Chère Madame…

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Je suis tout d abord bien rentré. 

À la fois, intrigué par ce doux objet, et tout autant habité par cette rencontre hors du temps que j ai eu la chance de partager avec vous.

Vos beauté plastique, incroyable, à résolument pour limite votre beauté intérieur. Vous êtes merveilleuse.

Si jamais ! Je serai heureux de vous transmettre mon cv… et celui de ma douce que j aime sincèrement.

Je vous embrasse bien tendrement.

À très vite douce et chère Madame.

Tendrement et Soumisement 

Laurent  (2023)

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Madame…

 

Nous voici le dimanche,  soit à 3 jours de notre rencontre et permettez moi Madame BCBG que vous êtes toujours la plus Belle des images qui reste devant mes yeux, vous effacez toutes les autres,  l effet que vous me faite est toujours aussi forte sur mon cérébral bien aidé par quelques traces transmettant une petite douleur à chaque mouvement assis, petit souvenir de votre passage sur mes fesses , un mouvement  de suite vous revenez devant mes yeux,  vous remplissez mes pensées.


Bon je dois avouez qu il n’y a pas que cela qui fait que vous remplissez mon cerveau, je fait un PMU je pense à vous, je vois une cigarette je pense à vous, une bouteille de champagne, là encore c’est vous qui tenais la coupe… Vous êtes de partout, un véritable Magnifique mirage dans mes yeux que j ‘ai bonheur à me laisser emporter.

Madame, Je crois que je suis sûr que les leçons 1,2,4,5,9 sont ancrées au plus profond de moi.

Je vous souhaite un bon Dimanche  Madame.

Bien sûr, toutes mes pensées vont vers vous.

LALOY devenu Epolas (2023)

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” Oui, Madame…”

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Madame…

Je suis bien rentré Madame BCBG,
Je tiens encore à vous remercier pour cette honneur que vous m avez accordé non seulement de vous rencontrer mais aussi pour m avoir accueilli dans votre  merveilleux endroit qu est votre alcôve.

Vous êtes une Personne Admirable,  une Dame Magnifique Envoutante, mes yeux sont encore sous l’éblouissement de votre beauté,  votre silhouette , votre tenue.

Dans mes oreilles raisonnent encore votre voix si ensorcelante , vos mots sur un air de Toxicité et que dire de mon corps qui abstinent de jeux, de châtiment, du chaud-froid en redemande déjà .

Tout au long de mon chemin retour à la Maison,  mon corps, mon cérébral , mon cerveau ce sont confrontés et remémorer ce moment partagé si appréciable pour ma part.


Mon corps dit “Oui Madame“… Encore du plaisir, de la douleur et écrivons cette Histoire, si belle à partager. Mon cérébral est encore tout là haut et ne souhaite pas redescendre tellement vous êtes La Madame BCBG qui me faite abandonner l’idée de quitter le monde BDSM . Vous lui avez redonné envie de revivre cette belle Histoire.

Quand à lui, mon cerveau s’inquiète de l’accoutumance que vous allez créer sur moi, mais quelle sublime accoutumance que de vouloir être votre Epolas et votre Constance…..

LALOY devenu “EPOLAS” (2023)(2023)

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Madame…0

Votre domination sur moi m’a rendu libre, de plus en plus moi-même et jour après jour.

J‘ai accepté ma nature libertine, que ce soit quand je mets une paire de bas et deviens une pute chic ou quand je suis un homme.

Je suis une charmante perverse ou mâle pervers.

Merci Madame…

Erika Libertine (2023)

Soumission Domination

Domina

J’ai découvert un Être Solaire...

Bonsoir Madame,

Je ne pouvais finir l’année sans vous avouez que vous avez été la plus belle rencontre de l’année voir des vingt dernières années.
Je repense souvent à notre première rencontre, à notre premier regard échangé….
J’ai découvert à ce moment là un être solaire, un être avec qui j’étais en totale osmose.
J’avais recherché toute ma vie une telle rencontre, une rencontre saine et réelle… Et non pas une rencontre programmée, futile et sans intérêt où l’on vient juste combattre le fantasme.
Avec vous Madame, j’ai tout de suite été en confiance… Comme si je vous avais déjà rencontré depuis bien longtemps. Je ressentais de la complicité , de l’apaisement et un peu plus encore.
Vous me manquez fortement Madame. J’ai follement envie de vous revoir, d’aller plus loin à vos côtés, d’apprendre davantage à vous connaître.
Je vous souhaite une très Bonne Année.
Ma pensée vous accompagnera ce soir.

Christy (2023)